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11 décembre 2015

Article de presse italienne

Article d'Alba, journaliste italienne, rencontrée précédemment.
Version (presque) française par Google Traduction en dessous.


Errare è umano, pedalare… anche! 
Dalla Francia all’Africa, passando per… Pisticci Scalo.

“Volevamo scoprire le meraviglie del mondo, così abbiamo preso la bici ed abbiamo iniziato il nostro viaggio”. Pisticci Scalo, sono le h10 di un anonimo 30 novembre. Il vento scalfisce ma non taglia, il sole illumina ed ha smesso da tempo di riscaldare. In una piazzola, tra 2 bici ed un fornellino da campo, una bandiera francese si lascia avvolgere e scompigliare dall’aria.

Incuriosita, mi trovo nel bel mezzo di una colazione minimalista e non più di un bagaglio, che racchiude quell’essenziale mai così invisibile agli occhi. Sono Renaud e Nicole, una cinquantina d’anni a testa per una comune nazionalità, che sa di fonduta quanto di Tour Eiffel, di Bastiglia ed “r moscia”.

Mi raccontano, in inglese, storie di curve e sudore, pioggia e pazienza per infiniti quanto emozionanti chilometri e tappe, tutte da raccontare.  Partono da Cuers (Sud della Francia) ad aprile del 2015, muniti di quel tutto che possa entrare in una sacca da trasporto, quella che per i ciclisti è un ibrido tra la borsa di Mary Poppins e l’armamentario di Messner, per intenderci. Buone gambe e forte l’ostinazione, raccontano di voler raggiungere l’Africa entro 4 anni. Alla domanda: “Perché questo viaggio?”, rispondono con semplicità: “Volevamo scoprire il mondo e le sue bellezze, il suo mosaico di volti e voci”.

Mangiano per strada, dormono in un hotel che di stelle ne offre 5, sì, 5 milioni, come quelle gentilmente offerte dalla volta celeste. Talvolta trovano ospitalità da parte di gente di buon cuore, altre ricorrono ad una tenda, che ancora ti chiedi da dove possa esser uscita. E la cerchi tra manubrio e pedali, finché non smetti di porti domande.

Felici, positivi e ottimisti, viaggiano, baciati dal sole o bagnati dalla rugiada. Scelgono strade secondarie – mi dicono – per non incappare in eventuali pericoli. “Avete paura? – domando. “Così come temiamo le punture di zanzara!”. Tante le pedalate di distanza dalla Parigi del 13 novembre. Un pensiero per i vostri connazionali? “Quel giorno eravamo a Durazzo. Io non ho una religione – dice Renaud – ma comunque sia, credo che il fondamentalismo sia il reale male di ogni religione”.

Prossima tappa? La Sicilia. Ultima? Africa del Nord, in quel 2019 tanto caro a Matera.

Mi lasciano, con un abbraccio ed un indirizzo: quello del loro blog, attraverso il quale seguire e sostenere il loro percorso (elasser travellers). Li lascio, con l’augurio di un buon vento e l’orgoglio di poter raccontare questa storia, la loro storia.

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L'erreur est humaine, à pédaler ... aussi!
 De la France à l'Afrique, en passant par ... Pisticci Scalo.

«Nous voulions découvrir les merveilles du monde, nous avons donc pris la moto et nous avons commencé notre voyage." Pisticci Scalo, sont h10 d'un anonyme 30 Novembre.Le vent rayures, mais ne coupe pas, le soleil brille et il a depuis longtemps cessé d'être chauffé. Dans un pas entre deux vélos et un réchaud de camping, un drapeau français se enveloppe et le gâchis de l'air.

Intrigué, je suis au milieu d'un petit déjeuner minimaliste et non plus d'un sac, qui soutient que essentielle que jamais invisible à l'œil. Renaud et Nicole sont, cinquante ans chacun pour une nationalité commune, qui sait ce fondue de la Tour Eiffel, de la Bastille et "R terne."

Ils me disent, en anglais, des histoires de courbes et de la sueur, la pluie et une patience infinie pour ce kilomètres passionnants et les stades, tous à raconter. Commencez à Cuers (Sud de la France) en Avril 2015, équipée avec tout ce que vous pouvez entrer dans un sac de transport, l'un pour les cyclistes est un hybride entre le sac de Mary Poppins et l'attirail de Messner, pour ainsi dire. De bonnes jambes et une forte obstination, disent vouloir atteindre l'Afrique dans les quatre ans. A la question: «Pourquoi ce voyage", répondre simplement: «Nous voulions découvrir le monde et sa beauté, sa mosaïque de visages et des voix."

Ils mangent dans la rue, dormant dans un hôtel 5 étoiles qui offre, oui, 5,000,000, tels que ceux offerts par les cieux bienveillants. Parfois, sont accueillis par des personnes de bon coeur, d'autres ont recours à une tente, qui encore vous vous demandez d'où elle peut être sortie. Et les cercles entre guidon et pédales, jusqu'à ce qu'ils cessent de poser des questions.

Heureux, positif et optimiste, Voyage, embrassée par le soleil et humide de la rosée. Choisissez routes - ils me disent - de ne pas courir dans tout danger. "Avez-vous peur? - Wonder. «Tout comme nous craignons les piqûres de moustiques." Donc, de nombreux manèges loin de Paris le 13 Novembre.Une pensée pour vos compatriotes? "Ce jour-là nous étions à Durres. Je ne ai pas une religion - dit Renaud - mais de toute façon, je pense que l'intégrisme est le vrai mal de toute religion ".

Prochain arrêt? Sicile. Durer? Afrique du Nord, en 2019 qui est si chère à Matera.

Ils me laissent un câlin et une adresse: celle de leur blog, à travers lequel suivre et soutenir leur chemin (de voyageurs elasser). Je pars avec l'espoir d'un bon vent et la fierté d'être en mesure de raconter cette histoire, leur histoire.

2 commentaires :

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